Ecrire en Histoire
Stage de formation "Pratiques langagières" 2023
Mesdames, Messieurs les professeurs d'Histoire Géographie, Dans le cadre des formations sur les Pratiques langagières en Histoire qui se sont déroulées au cours de l'année 2022-2023, vous trouverez : - ci-dessous la présentation de la formation de Mme Gache, IA-IPR Histoire Géographie, Marie-Laure Gache, IA-IPR Histoire Géographie, |
Les diaporamas proposés par les formatrices qui sont intervenues dans le Var et les Alpes Maritimes, sont d'un déroulement similaire mais aux exemples différents :
Diaporama de la formation 83 : par Mmes ELOTO, GLAUDA, LE GUEN, GONTHIER, INNOCENTI.
Diaporama de la formation 06 : par Mmes FENOUILLE, GUILLERME, DIANA, PERRIER, BUFFIERE DE L’AIR, GUERIN, PAPALIA.
OBJECTIFS DE FORMATION
• Analyser des situations langagières et travaux d’élèves : regarder les écrits des élèves autrement.
• Proposer d’autres démarches d’apprentissage et pistes de remédiation portant sur des situations concrètes, réutilisables et adaptables aux pratiques de chacun.
Écrire-penser-construire : les apprentissages en histoire ne se limitent pas à l’acquisition de connaissances factuelles. Didier Cariou fait de l’écriture historienne scolaire un objet d’apprentissage en soi : il s’intéresse aux moments d’un processus de construction de savoirs, à l’écriture comme activité cognitive historienne. Il explore différentes modalités d’écriture qui sont pensées comme des outils langagiers, et qui favorisent la construction d’apprentissages en histoire.
Ce questionnement suppose alors en formation, de réfléchir à nouveau sur l’épistémologie de notre discipline, notamment autour de la question de la narration et de la place du document. Ainsi, on peut chercher à faire saisir aux élèves la place singulière dans la production d’écrits historiques de la problématisation, de l’explication, de la conceptualisation et de la prédation (cf. schéma ci-dessous).
Par ailleurs, le document utilisé en classe n’est pas là pour rendre compte d’une réalité (il n’est pas transparent au réel, on ne trouve pas toutes les réponses dans le document), mais offre davantage la possibilité de s’interroger (quelles questions pose le document ?) et d’impliquer les élèves dans un travail de recherche et d’élaboration.
Ainsi, en formation, les professeurs ont pu réfléchir à comment amener les élèves à « Penser en histoire en faisant écrire des textes d’histoire »
Diaporama proposé par Didier Cariou, Maître de conférence en Didactique
Visioconférence en ligne
Bibliographie