C’est un concours qui s’adresse à tous les élèves de seconde.

Aujourd’hui, les questions de sécurité des données sont un des enjeux majeur de notre société, que ce soit pour protéger les transactions bancaires ou garantir la protection de la vie privée. Tout cela est rendu possible grâce aux mathématiques et à l’informatique. Nous souhaitons faire découvrir aux lycéens cette application très concrète des mathématiques, qui joue un rôle énorme dans leur vie quotidienne. Nous voulons leur montrer qu’il est possible de prendre du plaisir en faisant des mathématiques. Enfin, nous souhaitons les sensibiliser à la question importante de la sécurité de l’information.

concours-alkindi-2015-2016

Ce concours rentre dans le cadre de la Stratégie mathématiques et du plan École numérique du Ministère de l’Éducation nationale.

Le concours comporte quatre tours à partir du 30 novembre 2015 :

  • Le premier tour est une épreuve de 45 minutes sur ordinateur, à laquelle on peut participer seul ou par binôme. Il s’agit d’une série de problèmes interactifs. Chaque problème existe en version facile, intermédiaire et difficile. Tout problème résolu débloque de nouveaux énoncés. Plus on répond à des questions, plus on marque des points.
  • Les trois tours suivants ont une forme différente. Ce sont des épreuves en temps long (1 à 3 semaines) auxquelles on participe par équipe de 1 à 4 personnes. À chaque tour, il faut déchiffrer un nouveau message secret.
  • Après chaque tour, un classement est effectué et les 50 % équipes les mieux classées sont sélectionnées pour participer au tour suivant.

La participation au concours est entièrement gratuite.

Pour tous renseignements complémentaires sur www.concours-alkindi.fr

*Al Kindi est un savant arabe du IXe siècle qui s’est intéressé́ à de nombreuses sciences allant de la géométrie, à la médecine et à la chimie. Dans le « Manuscrit sur le chiffrement des messages cryptographiques » il explique comment casser les meilleurs codes connus à son époque, à l’aide de la technique de l’analyse de fréquence. C’est la première trace connue de cryptanalyse. Par conséquent, il est considéré comme l’un des fondateurs de la discipline.

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