Séquence : Le monde méditerranéen : empreintes de l’Antiquité et du Moyen-âge :

La méditerranée médiévale


pucebleue S’attacher et se limiter à une problématique forte

pucebleue S’appuyer sur la cartographie pour réactiver les repères chronologiques et spatiaux

pucebleue Mutualiser le travail et s’appuyer sur l’oral

 

Au-delà des affrontements et des divisions, la Méditerranée dans un autre âge d’or et le Moyen Âge sous un autre angle, celui du progrès des arts, de la technique, de l’économie et de l’échange.

La Méditerranée, un espace convoité car un espace de prospérité

  • Pour quelles raisons de telles cartes à Venise ? [Sketchbook]

Chaque élève réalise un croquis et une fiche biographique. 6 élèves volontaires présenteront à l’oral le croquis et la fiche biographique.

  • Débat argumenté : Quelles étaient dans la Méditerranée médiévale les zones de coexistence entre juifs, chrétiens et musulmans ? Peut-on parler de tolérance religieuse au Moyen Âge dans ces espaces ?
  • Montrez en quoi la Sicile (ou l’Espagne ou la Terre Sainte) était une zone de coexistence entre juifs, chrétiens et musulmans au Moyen Âge puis analysez les conditions de la cohabitation entre ces communautés.
  • Venise, une puissance maritime et commerciale entre Orient et Occident

 

Paul Fermon, Lycée Raynouard - Brignoles

Mars 2019

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Première technologique, Histoire - L’Europe bouleversée par la Révolution française :

Les puissances européennes contre Napoléon : la bataille de Waterloo


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pucebleue  La bataille de Waterloo n’est pas étudiée pour elle-même (vacuité de « l’histoire-bataille ») mais doit permettre de comprendre 1) les motivations de la coalition et 2) son ampleur.

Par ailleurs, le sujet d’étude peut être l’occasion d’aborder un item de la « Question obligatoire » : « la domination européenne de Napoléon qui conserve et diffuse certains principes de la Révolution ». En ce sens, l’étude épuise le sujet « impérial » et peut s’insérer dans la séquence.

 

pucebleue L'ensemble documentaire :

Le document d’accroche peut être en relation avec la mémoire de la bataille de Waterloo. La mémoire « vivante »/actuelle de la bataille est sans doute difficile à exploiter (cercles napoléoniens, « reconstituteurs » et « marcheurs », jeux). En revanche, la mémoire au XIXe siècle offre davantage de perspectives : la bataille marque les imaginations et contribue à définir le « romantisme militaire ». La bataille devient l’image de la « défaite décisive ».


Travail problématique
Premier questionnement : comprendre pourquoi Napoléon suscite une coalition quasi-universelle. Est-ce parce qu’il représente les valeurs de la Révolution et qu’il menace les ordres établis ?

Second questionnement : pourquoi la défaite est-elle totale ?


Premier questionnement :
Le premier document (tiré de l’atlas en ligne « West Point », très précis factuellement) permet de saisir l’ampleur de la coalition.

Les documents 2 et 3 (un extrait de la constitution impériale et une peinture – le Sacre de David) permettent d’aborder la question des héritages révolutionnaires – pour les nuancer fortement.

Les documents 4 et 5 (une caricature de Gilray, une carte) permettent de saisir l’ampleur des transformations géopolitiques que Napoléon a imposé à l’Europe et qui motivent en définitive la Coalition. La carte est construite selon un principe original : elle présente les états en fonction des liens de parenté qui lient les souverains à Napoléon. L’Europe est soumise à un « système familial ».

Second questionnement :
Le premier document est une carte représentant les mouvements des différentes armées autour de Waterloo. Alors que les Français sont aux prises avec les Anglais, les Prussiens parviennent à échapper à Grouchy et à rejoindre le champ de bataille principal. La « faute » de Grouchy est révélatrice des limites du système impérial – Napoléon se réservant la décision opérationnelle, ses subordonnés n’osent pas prendre d’initiative.

Le document 2 est une carte représentant, à une échelle plus fine, les conséquences des mouvements précédents. Les Prussiens font irruption sur le flanc droit de l’armée française – ce qui explique la défaite de Napoléon.

Le document 3 est un texte de Napoléon qui décrit la terreur panique qui s’empare de l’armée, transformant la défaite en déroute totale. Le document n’est pas exempt d’ambiguïtés (Napoléon se disculpe) mais la réalité de cette déroute n’est plus remise en question aujourd’hui : la « Grande Armée », épuisée par des guerres continuelles, n’a plus de vieilles troupes à opposer à la Coalition.

 

M. Faget - Académie de Nice

Mars 2019

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Première générale, Histoire - La Première Guerre mondiale :

Un embrasement mondial et ses grandes étapes

 

pucebleue  Cette proposition s'inscrit dans le cadre de l'essai de périodisation. En 1918, l'offensivedes Alliés, sur tous les fronts, est couronnée de succès. L’objectif est d'analyser, à travers un ensemble documentaire, les conditions matérielles de ce succès.

pucebleue On pourra exploiter la notion d’apprentissage pour mettre en valeur l’adaptation des armées à un environnement technologique en évolution.

 

pucebleue Les enjeux :

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pucebleue L'ensemble documentaire :


Le premier document est extrait d’un des rares films représentant un mouvement offensif en 1917. Il permet de mesurer l’évolution avec les pratiques de 1914.

Les documents 2 à 4 sont des photographies représentant des chars d’assaut. On pourra relever les contraintes et les atouts de cette « arme nouvelle ».

Le dernier document est une photographie (rare également) représentant le « combat interarmes » en 1918. Il permet de marquer le terme d’un processus d’adaptation de la tactique à la technologie.

 

 

pucebleue Annexe : proposition de progression pour le chapitre 1 :

Cette proposition s’appuie sur la notion de « tripartition des échelles de la guerre » défendue par l’historiographie militaire récente. Le principe est de distinguer les échelons tactique (le combat), opérationnel (les manoeuvres, les campagnes) et stratégique (les alliances, les entrées en guerre, les grands arbitrages entre les fronts).

La démarche problématique (quelles sont les grandes étapes de la guerre ?) peut s’appuyer sur un questionnement autour d’une hypothèse historiographique : l’année 1917 constitue-t-elle le « tournant » de la guerre ? (voir les « capacités et méthodes » : « vérifier des hypothèses sur une situation historique »).

Pour y répondre, on recherche un point de rupture aux différentes échelles. C’est l’occasion d’aborder également les formes de la guerre.


Note : en italiques, les « objectifs particuliers » mentionnés par le programme (« on peut mettre en avant »), en gras, les « points de passage et d’ouverture ».



I – De la guerre européenne à la guerre mondiale : la relative indécision stratégico-politique
A) Les contraintes politiques et diplomatiques
(buts de guerre et motivations)
La guerre a des racines profondes dans le système diplomatique européen (bipolarisation) et dans l’épanouissement d’un nationalisme militariste. Elle est déclenchée par un attentat qui finit par mettre aux prises l’AH et la Serbie qui appartiennent aux deux alliances rivales. Elle est l’occasion pour l’Allemagne, dominée par la hantise de l’encerclement, de tester la Russie.
Les buts de guerre sont nationaux et donc très variables (ex AL pour la France, annexions au dépends de l’AH pour l’Italie (but territorial), renforcement dans les Balkans pour la Russie (but stratégique) mais « paix sans victoire » wilsonienne) et mettent en lumière une faiblesse stratégique. La seule sortie de guerre envisageable, pour des systèmes d’alliances qui réunissent des intérêts aussi contradictoires, est une issue militaire qui exclut la négociation/la recherche d’un accommodement.


B) Les Empires centraux : une situation stratégique désespérée ?
(Tannenberg - extension progressive – guerre de position)
Malgré le plan Schlieffen, les Empires centraux ne parviennent pas à sortir de l’impasse du double front avant la Révolution russe. L’Allemagne doit « geler » le front Ouest (accepte la guerre de position dans une perspective défensive) pour reporter ses efforts à l’Est où, malgré la victoire de Tannenberg et l’ouverture du front du Caucase (grâce à l’Empire ottoman), elle ne parvient pas non plus à emporter la décision. L’entrée en guerre de l’Italie renforce le tropisme oriental : l’AH doit diversifier les fronts (Russie, Serbie et Italie).

La stratégie est déterminée par l’état-major qui impose des choix contre-productifs (guerre sous marine à outrance qui aliène les EU).


C) Force et hétérogénéité de l’Alliance

1) Difficultés stratégiques
(Dardanelles - extension progressive – désintégration de l’Empire russe)
Les Alliés ne profitent pas nettement de l’échec stratégique adverse : la mondialisation du conflit ne permet pas de faire aboutir une véritable « approche périphérique » (échec des Dardanelles) et mène à une parcellisation de la guerre (des guerres plutôt qu’une guerre mondiale, autonomie des fronts africains et orientaux). Le retrait de la Russie représente un véritable revers pour la stratégie d’encerclement suivie depuis 1914.


2) L’entrée en guerre des États-Unis
(extension progressive)
L’entrée en guerre des EU représente un « tournant » relatif : les EU ne jouent pas un rôle décisif dans l’offensive finale à l’Ouest (15 divisions opérationnelles sur 200) et l’Allemagne, libérée du front oriental, peut jouer son « va tout » en 1918. Cependant, cette entrée joue un rôle important dans le rapport de forces moral et économique.


3) Les Empires coloniaux
(implication des Empires coloniaux)
Alors que l’Entente peut s’adosser dès 1914 sur les empires coloniaux, les Empires centraux sont dans la position inverse. Privés de ressources, ils s’engagent dans une course « contre la montre » pour emporter la décision avant le collapsus économique. Le blocus maritime, mené principalement par le RU, accentue cette faiblesse majeure.


CC : l’Entente s’appuie sur un capital impérial et diplomatique considérable par rapport aux Empires centraux. Il n’y a pas de réel « basculement » de ce point de vue pendant la guerre – ce qui fait porter le poids de la décision sur les choix strictement militaires (⇒ II).

 


II – Comment remporter la guerre ? Permanence des approches opérationnelles
Malgré l’échec des paradigmes opérationnels de 1914, ils ne sont pas abandonnés dans le fond.

A) L’échec de la manoeuvre et de la guerre « courte »
(La Marneformes de la guerre – échec allemand de la guerre « de mouvement »)
L’échec du paradigme napoléonien (plan Moltke-Schlieffen) et néo-clausewitzien (mythe de la bataille décisive) est manifeste avec la bataille de la Marne et avec l’échec du débordement de l’adversaire (« course à la mer »). Les effectifs mobilisés et la puissance du feu rendent illusoires les rêves d’une offensive rapide et valident la théorie de « l’inviolabilité du front ». Pour des raisons stratégiques (double front), les Allemands renoncent globalement à la percée à l’ouest sauf en 1916 à Verdun et en 1918.

A l’Est la guerre de mouvement est toujours possible mais faute de moyens (échec de la guerre à l’Ouest) l’état-major allemand ne parvient pas à obtenir la décision face à une armée russe bien commandée.


B) Comment reprendre le mouvement ?
(La Sommeformes de la guerre – « passage à la guerre de position »)
Échec de « l’offensive à outrance » sous ses différentes formes (1914, 1915, 1917), de « la conduite scientifique de la bataille » (Somme, 1916), et refus de s’impliquer franchement dans une approche indirecte (Dardanelles, front balkanique).

Le thème de la « percée » domine toujours la pensée militaire au détriment de la manoeuvre opérationnelle : elle est menée « à coups d’homme » jusqu’en 1917 puis, les effectifs baissant, elle est menée plus mécaniquement.

CC : L’offensive finale (Orient, Balkans – seule « percée » effective des Alliés, France) actualise la doctrine offensive, enfin rendue possible par les progrès de la tactique (⇒ III)

 


III – 1918 : l’invention de la guerre moderne (échelle tactique)
⇒ L’offensive finale est couronnée de succès grâce à l’adaptation du commandement aux armes nouvelles : après de nombreux talonnements, le principe du combat interarmes est formalisé (« champ de bataille interarmes »).

A) L’impasse tactique
(échec français de la guerre de mouvement, passage à la guerre de position - culture de guerre)
En 1914, décalage entre une doctrine du choc et les réalités du feu est la manifestation d’une culture de guerre marquée par les approches « culturalistes » (la volonté du combattant peut surmonter tous les obstacles). L’impasse tactique est symbolisée par les tranchées, « pis aller » nécessaire lorsque l’espace de manoeuvre n’existe plus ou lorsque les armées en présence disposent d’une puissance de feu comparable. Cela ne concerne dans le fond que le front Ouest. Partout ailleurs, la guerre de mouvement n’a jamais cessé d’exister.

B) Le sursaut allemand
(La dernière offensive allemande)
La dernière offensive allemande de 1918 trahit un basculement : le nouveau modèle tactique allemand est mis au point lors de l’offensive de Riga en septembre 1917. Il s’appuie sur la mobilisation en « fer de lance » des meilleures unités chargées de réaliser une percée – alors que les troupes de deuxième ligne rassemblent des corps inexpérimentés et mal armés chargés d’occuper le terrain. Cependant la finalité est toujours de réaliser une percée et l’organisation du dispositif n’est que la traduction des difficultés matérielles allemandes. Ce modèle s’appuie également sur la culture de l’initiative propre à l’armée allemande entre 1870 et la 2e GM.

C) Le champ de bataille interarmes
Adaptation alliée se fait par l’intégration très progressive des armes nouvelles dans la bataille : chars et avions. Offensives moins massives de l’infanterie. Cavalerie « réajustée ». Artillerie = neutraliser plutôt que détruire ⇒ plus de souplesse, préparations moins longues qui ménagent l’effet de surprise, infanterie dégagée de la subordination Infanterie = commandement « décentralisé » (les Alliés ont « appris » des Allemands) pour augmenter la puissance de feu ⇒ échelon de base commandé par les sous-officiers et non les officiers ⇒ puissance de feu 15 fois > à 1914.

CC : 1918 – véritable point de rupture.

M. Faget - Académie de Nice

Mars 2019

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Première générale, Histoire - La Première Guerre mondiale :

Un embrasement mondial et ses grandes étapes


 

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pucebleue  L'un des deux objectifs principaux du chapitre est un essai de périodisation ("les phases de la guerre", objectif rappelé ensuite : "les grandes étapes de la guerre").

pucebleue Concernant la périodisation, les objectifs secondaires ("on peut mettre en avant") invitent, entre autres, à analyser "l'échec de la guerre de mouvement et le passage à la guerre de position".

pucebleue Cette thématique concerne le front ouest et les mois d'août-septembre 1914. On peut distinguer un échec allemand de la guerre de mouvement (le "faux mouvement" de Von Klück et la bataille de la Marne déjouent le plan Moltke/Schlieffen) d'un échec français.

pucebleue Cette proposition s'inscrit dans cette perspective. L'objectif est, à travers l'analyse documentaire, d'expliquer cet échec français en opposant une culture de guerre nourrie des références du "romantisme militaire" à la réalité de l'armement en 1914.

 

pucebleue Les enjeux :

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pucebleue L'ensemble documentaire :


La première photographie est la mise en scène d'une charge, publiée dans l'Illustration en 1915. Elle est l'occasion de mettre en évidence les éléments constitutifs d'un mouvement offensif dans l'imaginaire civil.

La deuxième photographie représente une charge exécutée par une unité en 1913, au cours des grandes manoeuvres (les opérateurs de l'agence Rol photographient les grandes manoeuvres terrestres et navales depuis 1911). Cette source indique la manière dont les militaires eux-mêmes se représentent un mouvement offensif. Malgré quelques différences, on pourra souligner la remarquable homogénéité des représentations civiles et militaires. La culture de guerre, culture du "choc", est partagée.

Le troisième document est une peinture d'Horace Vernet représentant un épisode des guerres révolutionnaires : Bonaparte franchissant le pont d'Arcole à la tête de ses troupes. La source est représentative du "romantisme militaire". Les différents éléments constitutifs de la charge telle qu'elle est imaginée/représentée en 1914 trouvent leur origine au début du XIXe siècle. Plus généralement, cette oeuvre témoigne de l'importance du "tropisme" napoléonien dans la culture de guerre.

Le quatrième document est la "fiche technique" de la mitrailleuse Maxim utilisée par les Allemands pendant la Première guerre mondiale. Sa puissance de feu peut-être soulignée (500 coups/minute) : les charges françaises ont été fauchées (réalités du feu). On peut également mettre en avant que les Français n'étaient pas sous-équipés en mitrailleuses mais qu'ils ne l'utilisaient pas de la même façon (culture de guerre) : la plupart sont cantonnées au service des fortifications.

Le dernier document est le témoignage d'un officier sur la charge et le "choc" à la baïonnette. L'auteur relativise l'intérêt de l'arme blanche (moins d'1% des pertes pendant la Grande Guerre) et assimile la charge à une "bande de gens apeurés".

 

M. Faget - Académie de Nice

Mars 2019

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Un point de passage et d’ouverture en Première :

Louise Michel et la Commune de Paris


pucebleue Le point de passage et d’ouverture sur « Louise Michel et la Commune de Paris » est probablement l’un des plus riches en sources facilement accessibles pour faire travailler les élèves. Louise Michel a elle-même écrit une trentaine de livres.
Le présent document recense les différentes possibilités pour le professeur et les différents documents utilisables en classe (ouvrages historiques, romans, poèmes, bandes dessinées, témoignages).

pucebleue Ce Point de passage et d’ouverture permet de travailler avec les élèves plusieurs points importants :

- la notion d’évènement en histoire. Michel Winock définit un évènement par quatre critères fondamentaux : son imprévisibilité, son retentissement, son intensité et sa portée historique. La Commune est de ce point de vue un cas d’école. Aujourd’hui encore, les débats sont vifs sur l’interprétation de ce moment historique.

- la place des femmes dans l’histoire de France. Champs de travail historique en plein développement, l’histoire des femmes continue sa progression dans les programmes scolaires. Louise Michel est une personnalité intellectuelle et politique particulièrement intéressante. C’est le 26ème personnage le plus cité dans les lieux publics (une station de métro, un square, 190 établissements scolaires), ce qui montre sa place dans l’imaginaire collectif.

- l’engagement intellectuel et politique. Louise Michel permet d’aborder la notion de mouvement politique : elle est en contact avec les principaux leaders du mouvement, mais aussi avec les intellectuels de son temps. Ainsi, Victor Hugo prend la défense de Louise Michel lors de son procès par un magnifique poème qui témoigne des liens d’amitiés qui se sont constitués au fils de leur correspondance.

pucebleue Il s’agit donc d’un point de passage et d’ouverture qui devrait susciter l’intérêt des élèves et constitue une entrée passionnante dans les problématiques de la IIIème République.

Virginie Matheron-Ruel, Formatrice Histoire Géographie Académie de Nice

Mars 2019

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