Les élèves lors de la pause de midi sont sous la responsabilité de l’enseignant.
Dans ce type de sortie la souscription d’une assurance de la part des élèves est obligatoire (car la sortie se déroule en partie hors temps scolaire).
Les élèves lors de la pause de midi sont sous la responsabilité de l’enseignant.
Dans ce type de sortie la souscription d’une assurance de la part des élèves est obligatoire (car la sortie se déroule en partie hors temps scolaire).
Non. Dans le cadre de l’utilisation des lignes régulières de transports publics, c’est-à-dire utilisées conjointement par le public ( les élèves pouvant être transportés debout) l’enseignant ne doit jamais être seul avec sa classe, même si l’installation sportive est située à proximité de son école. Il convient de respecter le taux minimum d’encadrement au cours de la vie collective.
Non. Bien que récurrentes, les sorties régulières ont lieu pendant les horaires de la classe et n’incluent pas la pause du déjeuner.
Ce sont « des » sorties occasionnelles (répétées tous les lundis pendant 2 mois…) C’est le cas par exemple des sorties ski à la journée
Non. Ce type de sortie ne peut être considéré comme une sortie régulière. En effet les sorties régulières ont lieu pendant les horaires de la classe et n’incluent pas la pause du déjeuner.
Oui avec les nouvelles territorialités, il est nécessaire que la notion de proximité puisse être plus précisément définie.
Un enseignant d’une école élémentaire peut se rendre seul, avec sa classe, à l’intérieur du périmètre d’un regroupement pédagogique intercommunal, soit à pied, soit en car spécialement affrété pour une durée globale qui ne dépasse la demi-journée de classe, dans le cadre des horaires obligatoires, que la sortie soit régulière ou occasionnelle.
En effet, la sortie de proximité signifie que celle-ci ne dépasse pas le temps scolaire obligatoire (donc n’inclut pas la pause déjeuner). Il s’agit donc de sorties qui peuvent se dérouler soit dans la matinée, soit dans l’après-midi. La sortie peut être régulière (ex. tous les mardis matins à la piscine) ou occasionnelle ( ex. une sortie au théâtre pour assister à une représentation). A pieds ou en bus ( bus spécialement affrété, pas de transport public dans ce cas là).
La notion de distance par rapport à l’école n’est donc pas à considérer même si dans la plupart des cas il y a une relation évidente (distance / temps de trajet).
Elles donnent l’occasion de vivre des activités d’enseignement sous d’autres formes (ressources naturelles ou culturelles, conditions de vie différentes)
Elles sont de deux sortes : Sans ou avec nuitée
Les sorties occasionnelles sans nuitée :
– Elles peuvent :
– soit être inscrites dans les horaires scolaires, sans les dépasser (exemple : aller assister mardi après midi de 13H30 à 16H, à un match de l’Open de tennis. Elles sont donc obligatoires (pour les élèves) et gratuites
– soit comprendre la pause du repas et/ou dépasser les horaires de demi journée (exemple : faire une sortie aux îles à la journée ). Elles sont donc facultatives (autorisation des parents nécessaire) et une participation financière peut-être demandée.
Les sorties occasionnelles avec nuitée :
Elles sont autorisées par l’inspecteur d’académie (à partir d’un dossier établi par l’enseignant et vérifié par le directeur)
– Elles correspondent aux enseignements réguliers inscrits à l’emploi du temps
– Elles sont obligatoires (pour les élèves)
– Elles ne dépassent pas la demi journée de classe (n’incluent pas la pause déjeuner, ni ne se prolongent après la fin de la classe)
-Il s’agit essentiellemnt des sorties à la piscine, au gymnase, au stade…
EXEMPLE : Je me rends, à la période 4, à la salle de tennis de table, tous les mardis après-midi de 14H à 15 H
Oui à certaines conditions. La circulaire de 99 précise trois formes « d’organisation pédagogique » possibles. Outre un encadrement classique aux côtés de l’intervenant, l’enseignant peut : soit n’avoir aucun groupe à sa charge, soit ne s’occuper que de son groupe, les autres groupes étant chaque fois encadrés par au moins un « intervenant » (régulièrement autorisé ou agréé). C’est le cas dans certaines APS même celle à encadrement renforcé : par ex.ski (au pied de la station), voile (sur la plage ou à quai), équitation (en dehors de la carrière ou des manèges)…
Il est évident que l’enseignant est présent sur le lieu, si possible la classe reste en permanence dans son champ visuel, ou du moins, il sait constamment où sont ses élèves et les encadrants peuvent le joindre à tout moment (portable par ex.). Il s’assure que les intervenants respectent les conditions d’organisation générales (notamment celles relatives à la sécurité). Enfin, le choix de ce type d’organisation doit être motivé, et non pas être dicté par confort personnel ( la présence de l’enseignant dans sa classe, aux côtés de l’intervenant, au cœur de l’intervention, étant à privilégier pour des raisons évidentes d’ intérêt pédagogique).
1. Les Licences Staps peuvent-ils enseigner (encadrer) la natation à l’école ?
En référence à la circulaire natation de 2011 :
– Seulement s’ils sont issus de la filière entrainement sportif et sous réserve que les activités de la natation figurent dans l’annexe descriptive
2. Les Licences Staps filière entrainement sportif (avec natation en annexe descriptive) peuvent-ils aussi « surveiller » la natation à l’école ?
Idem réfence circul 2011 :
– Non, (il faut avoir le titre de MNS ce qui n’est pas le cas lors de la délivrance du diplôme sus mentionné
– Oui si cette formation a intégré une unité d’enseignement « sauvetage et sécurité en milieu aquatique «