Épreuve écrite de mathématiques (coefficient 2)

Durée de l’épreuve : 2 heures

Objectifs de l’épreuve : pour tous les candidats, l’épreuve évalue les connaissances et compétences attendues en fin de cycle 4 et déclinées par le programme de mathématiques de cycle 4 (sur le programme de la classe de troisième à partir de la session 2027). À travers les exercices proposés, les candidats sont amenés à mobiliser les compétences chercher, modéliser, représenter, raisonner, calculer et communiquer. Le brouillon est autorisé sur l’ensemble de l’épreuve.

Le sujet : il est constitué d’exercices qui doivent pouvoir être traités par le candidat indépendamment les uns des autres. L’épreuve est notée sur 20. Les points attribués à chaque exercice sont indiqués dans le sujet. La calculatrice n’est autorisée que sur la partie 2. 

    • Partie 1 – Automatismes : 6 points – 20 minutes
      Les élèves réalisent cette partie sans calculatrice. Elle évalue la maîtrise des automatismes au cycle 4. 
    • Partie 2 – Raisonnement et résolution de problèmes : 14 points – 1 heure et 40 minutes.
      Certains exercices peuvent inclure des situations issues de la vie courante ou d’autres disciplines. Ils peuvent adopter toutes les modalités possibles. 

L’évaluation : elle doit prendre en compte la clarté et la précision des raisonnements ainsi que, plus largement, la qualité de la rédaction qui sera évaluée sur 2 points. Doivent être pris en compte les essais et les démarches engagées, même non aboutis. Le sujet précise que toutes les réponses doivent être justifiées sauf si une indication contraire est donnée.

Définition des épreuves de l’examen

Conformément aux dispositions de l’arrêté du 31 décembre 2015 modifié relatif aux modalités d’attribution du DNB, les épreuves terminales de l’examen sont prises en compte à hauteur de 60 %, compte tenu des coefficients affectés à ces épreuves. Les sujets et les modalités de ces épreuves correspondent aux programmes du cycle 4 jusqu’à la session 2026. À partir de la session 2027, les sujets des épreuves écrites porteront sur les programmes de la classe de troisième. 

Le tableau ci-dessous récapitule la liste des épreuves terminales ainsi que les coefficients affectés : 

  Candidats scolaires Candidats individuels

Contrôle continu

 

40 % de la note globale*

*sont ajoutés au total des moyennes du contrôle continu, les points supérieurs à 10 sur 20 de la moyenne obtenue dans l’un des enseignements facultatifs ou dans l’enseignement en langue des signes française suivi par le candidat, sous réserve que la moyenne de la part de contrôle continu auxquels ces points s’ajoutent ne dépasse pas 20 sur 20.

 

Épreuves terminales notées sur 20 :

 

60 % de la note globale 100 % de la note globale
Français  Coefficient 2 Coefficient 2
Mathématiques Coefficient 2 Coefficient 2
Histoire-géographie
Enseignement moral et civique

Coefficient 1,5

Coefficient 0,5

Coefficient 1,5

Coefficient 0,5

Sciences Coefficient 2 Coefficient 2
Oral de soutenance Coefficient 2  
Langue vivante étrangère   Coefficient 2

Épreuves conduisant à l’obtention de la mention Internationale ou Franco-allemande*

*La mention Internationale ou mention Franco-allemande est attribuée aux candidats ayant obtenu une note égale ou supérieure à 10/20 pour chacune des deux épreuves. Ces épreuves sont prises en compte dans le calcul de la moyenne des épreuves terminales.

Oral dans la langue de la section ou allemand pour les établissements franco-allemands

Coefficient 1

            

 
Oral dans la discipline non-linguistique  Coefficient 1  

 

Pour les candidats de la série professionnelle, des sujets distincts sont élaborés pour chacune des quatre épreuves écrites, en adéquation avec les spécificités des classes de troisième prépa-métiers, des classes des sections d’enseignement général et professionnel adapté et des classes de troisième de l’enseignement agricole.

Ces spécificités sont explicitées dans des référentiels adaptés établis sous l’autorité du ministre chargé de l’éducation nationale ou, pour l’enseignement agricole, du ministre chargé de l’agriculture.

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