par Philippe Cosentino
Pour étudier l’évolution de la fréquence allélique, il existait déjà plusieurs logiciels, la plupart hébergés sur l’académie de Nice.
Cependant, chaque logiciel avait son domaine d’application. Les divers logiciels consacrés à la dérive génétique ne permettaient pas d’envisager les effets de la sélection naturelle, et inversement, ceux prenant en compte la valeur sélective des génotypes (« Evolution allélique » par exemple) reposaient sur des modèles dont l’effectif était forcément infini.
Avec Géné’pop il est enfin possible de faire varier dans le même modèle l’effectif (qui peut être fini ou infini), les valeurs sélectives et les probabilités de mutation. On peut ainsi voir les effets combinés de ces 3 forces évolutives (les mutations, la dérive et la sélection). Lire la suite
                
                                                                
